tu conjugues aux fenêtres silencieuses
les heures ensevelies de tes élans d’hier l’ombre ne t’a pas oublié elle efface pas après pas le tracé de ta vie que tu croyais certain
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le soleil aujourd’hui grave en toi
des espérances nouvelles ce premier jour d’avril est limpide tu souris quand un nuage innocent vient effleurer la prochaine pivoine qui germe déjà au creux de ta vie |